UN DROLE DE BILAN
- Écrit par Luc L.
Nous sommes déjà en 2020 et notre mandat d’élus va s’achever. Sachant que nous ne repartirons pas pour les prochaines élections pour des raisons sur lesquelles nous reviendrons plus tard, nous étions a minima redevables du bilan de notre action au cours de ces six ans à nos électeurs.
Même si celui-ci relève d’une gageure puisque d’entrée de jeu il nous a été signifié qu’il était hors de question d’impliquer les élus « qualifiés » d’opposition dans la conduite des affaires municipales et que pour nous ôter toute chance d’intervenir dans la réflexion et les décisions, toutes les commissions municipales qui existaient avant 2014 ont été supprimées. Dès lors, notre champ d’action s’est vite circonscrit au conseil municipal.
Ce que nous avons essayé de faire avec plus ou moins de pertinence, de cohérence et de savoir-faire.
Dans quelles conditions avons-nous travaillé en tant qu’élus minoritaires ?
Petit Rappel ; la liste de Mme Chaudoir avait 17 élus, celle de M. Noisette 4 élus et la nôtre « Mieux Vivre à Portiragnes, une force de gauche citoyenne et solidaire » avait 2 élus pour les résultats au second tour suivants : 44,63% - 36,43% -18,93%
Avant de continuer, rappelons que notre commune est en-dessous du seuil de 3 500 h qui ouvrent des droits à l’opposition, notamment l’accès à l’information dans les outils d’information utilisés par la municipalité : mag, site, page facebook, etc.
Comme nous l’avons écrit plus haut, entre 2014 et 2020, les commissions municipales n’ont pas été maintenues. S’il en avait existé, les listes minoritaires y auraient, selon la loi, participées sur le principe d’une représentation proportionnelle. C’est pourquoi sans doute que celles-ci ont été supprimées. Il n’a donc existé pendant six ans sur la commune qu’une commission extra-municipale sur la sécurité.
Les listes minoritaires ont donc été exclues pendant six ans du processus de décision.
En outre, plus nous avons avancé dans le mandat, plus les conseils se sont raréfiés pour devenir quasiment trimestriel comme la loi l’autorise.
Nous recevions l’ordre du jour du conseil municipal et les documents afférents 3 jours avant (week-end compris). Dans les communes de plus de 3 500 h, le délai est de 5 jours.
C’est dans ce laps de temps que nous devions prendre connaissance des documents et des délibérations que nous avions à voter. C’est durant ce laps de temps que nous essayions de capter un maximum d’informations pour être en mesure de voter si possible avec « une certaine connaissance » des dossiers.
Nous préparions chaque conseil municipal et nous y arrivions avec des notes plus ou moins importantes selon l’ordre du jour. Dans ces notes, nous évaluions la possibilité de voter contre, de nous abstenir ou de voter pour selon nos critères qui relevaient de l’intérêt général, du bien commun et des valeurs de gauche sur lesquelles nous avons été élus.
Pause musicale
https://www.youtube.com/watch?v=Y0h7p1rB33w
Au cours des conseils, nous posions des questions et intervenions beaucoup mais pour autant nous n’avons jamais été dans une opposition systématique quoiqu’on en dise. Il en est pour preuve le nombre de délibérations pour lesquelles on a voté bien supérieur à celui où nous avons voté contre et où nous nous sommes abstenus.
Nous exercions en quelque sorte ce droit très démocratique d’avoir une opinion, de l’exprimer et de voter en raison de celles-ci.
Dans la mesure où ce que nous avons eu à analyser, commenter et voter pendant six ans a concerné pour la plus grande part le programme de Mme Chaudoir présentées pour les élections municipales de 2014, il nous a semblé logique de repartir de celui-ci pour parler de notre bilan. Ainsi nous vous proposons 4 parties à notre bilan.
- Quand les poules auront des dents/Inventaire des « réalisations » ; des « en cours de réalisation » et des « non réalisés » de l’équipe de Mme Chaudoir sur le mandat 2014-2020, suivi de de quelques constats
- Prises de bec/Les thèmes et les domaines sur lesquels nous sommes intervenus ou sur lesquels nous avons été en désaccord avec la majorité
- Quand on reste le bec dans l’eau ou vers la fin des haricots /Bilan des élus de Mieux Vivre à Portiragnes et autres réflexions
- Quand on bat de l’aile ou le coeur en morceau/ dernières lignes écrites
1) Quand les Poules auront des dents
Inventaire des « réalisations » ; des « en cours de réalisation » et des « non réalisés » de l’équipe de Mme Chaudoir sur le mandat 2014-2020
Nous avons choisi une approche très réaliste, basée sur l’inventaire et les chiffres qui sont toujours très parlants si on prend le temps de les observer et de les analyser. Il y a déjà beaucoup à dire. Bien sûr, il faudrait dans un autre temps examiner comment se sont faites et pour quels résultats les réalisations qui ont eu la chance de voir le jour. Nous ne le faisons pas de manière systématique dans cet inventaire même si cela transparaît par instants, dans notre lecture du bilan.
Nous avons donc choisi de relever l’intégralité du programme de Mme Chaudoir organisé autour de 14 domaines, plus ou moins pertinents, et dans lesquels étaient proposés un certain nombre de propositions que nous avons relevé dans les tableaux comme des items. Sous chaque tableau figure un récapitulatif de ce qui a été réalisé pendant ces six ans, ce qui est en cours de réalisation et ce qui n’a pas été réalisé : trois couleurs pour s’y retrouver et en fond trois couleurs pour identifier ce qui est de la compétence de la commune, de l’agglo ou d’autres collectivités. Nous nous sommes aussi autorisés à introduire au milieu quelques informations complémentaires et dans la troisième colonne des commentaires.
Seconde pause musicale
https://www.youtube.com/watch?v=73JTiRDkvo8
La lecture continue ici ↓
2020
- Écrit par Luc L.
2020
Année particulière puisque dès mars sera élue l'équipe municipale
qui pilotera les affaires municipales pour 6 nouvelles années.
En attendant de revenir sur ces élections, nous adressons aux Portiragnais
tous nos meilleurs voeux pour cette nouvelle année.
Démocratie et autoritarisme - du national au local
- Écrit par Luc L.
« Après la violence faite aux Gilets Jaunes, le mouvement social qui s’exprime actuellement contre la réforme des retraites subit les mêmes violences d’un pouvoir et d’un président monarque qui cherchent une victoire historique. La mobilisation actuelle porte un enjeu politique au-delà des revendications sociales des retraites : la victoire ou la défaite d’un libéralisme autoritaire associant, Etat policier, démocratie faible et marché sauvage » Ce n’est pas nous qui l’écrivons, mais Edwy Plenel dans son article titré « Tout arrêter pour les arrêter » du 9 janvier 2020.
La question est de comprendre de quoi il retourne et de connaître le biberon idéologique avec lequel a été nourri Macron.
Le mouvement des Gilets Jaunes parti d’une revendication d’égalité et d’une meilleure répartition des richesses a dévoilé la « violence sociale du pouvoir » qui n’a eu de cesse de faire appel à une répression policière d’une extrême violence, laissant entrevoir l’intransigeance avec laquelle il allait traiter les mouvements sociaux qui tenteraient de faire obstacle à sa volonté de miner toutes « les protections conquises par le monde du travail. » Perdre cette bataille des retraites, c’est laisser le champ libre à la contreréforme menée à marche forcée par le tout puissant Macron qui ne lâchera rien car il sait que la victoire aura pour effet d’étayer durablement "l’ordre du libéralisme qui fait la part belle aux nantis et aux privilégiés…Nous vivons le programme théorisé il y a une trentaine d’années par les auteurs du rapport de la Crise de la démocratie*: à savoir la mise en place d’une démocratie restreinte et limitée. Ce qui se comprenait par la nécessité d’empêcher toute contestation et toute remise en cause de l’action de l’Etat afin que celui-ci puisse protéger et chaperonner les intérêts économiques qui s’en sont emparés."
« Ce libéralisme autoritaire est un projet de société qui va au-delà des seuls abus de pouvoir de l’État, dont les violences policières sont l’emblème le plus manifeste. Ayant le désir de rendre irréversible sa domination, le monde des affaires entend « se rendre soi-même ingouvernable pour mieux gouverner les autres », résume Grégoire Chamayou. La politique néolibérale, explique le philosophe, en ce qu’elle pratique la dérégulation, notamment du droit du travail, renforçant le pouvoir de l’employeur dans la relation contractuelle, en ce qu’elle précarise et insécurise les travailleurs, affaiblissant leur rapport de force, réduisant leur capacité de refus, leur liberté, en ce qu’elle favorise l’accumulation des richesses, creusant les inégalités, exacerbant par là plus encore les opportunités de subjugation de tous ordres, implique un raffermissement des autoritarismes privés. C’est en ce sens-là aussi que le libéralisme économique est autoritaire, au sens social et pas seulement étatique. »
Cette question démocratique n’est pas réservée au niveau national, elle se pose aussi aux différents échelons locaux, partout où des intérêts particuliers ou économiques s’emparent du pouvoir.
Dans toutes les villes et villages cet enjeu sera ainsi présent lors des prochaines municipales et les électeurs devront s’interroger sur qui veut prendre le pouvoir et pourquoi ?
ERREUR SUR TOUTE LA LIGNE
- Écrit par Luc L.
Nous pensions que la concertation du public sur la concession Plage avec l’Etat annoncée sur le site de la commune avait quelque chose à voir avec une enquête publique ; il n’en est rien et c’est pour cela qu’il n’y avait pas de commissaire enquêteur.
Mais était-ce pour autant une réelle concertation publique telle qu’elle est définie par la Commission nationale du débat public ?
« La concertation est une attitude globale de demande d’avis sur un projet, par la consultation de personnes intéressées par une décision avant qu’elle ne soit prise. L’autorité, qui veut prendre une décision, la présente aux personnes concernées et engage un dialogue avec eux. L’autorité reste libre de sa décision. La concertation peut être engagée très en amont de la décision dès les études préalables.
La consultation est un processus par lequel les décideurs demandent l’avis de la population afin de connaitre leur opinion, leurs attentes et leurs besoins, à n’importe quel stade de l’avancement d’un projet : Celle-ci n’a cependant aucune certitude que ses remarques ou contributions soient prises en compte dans la décision finale. »
On penche (très fort) pour le NON, puisque la demande à la DDTM avait déjà été déposée et que le conseil municipal avait déjà voté les délibérations concernant l’avenant et qu’a priori toutes les décisions ont déjà été prises. On peut, en outre, se demander si les remarques, commentaires et propositions seront transmises à la Direction Départementale des Territoires et de la Mer.
Si donc l’avis des Portiragnais ne compte pas, parce qu’on a déjà pris toutes les décisions à quoi a-t-il servi d’organiser une consultation Canada dry ?
Nous vous laissons le soin de vous faire votre propre opinion…
Bonne année électorale à tous.
Foyer Rural et Education Populaire
- Écrit par Luc L.
Nous venons d’apprendre par le journal Midi-Libre en date du 9 janvier 2020 que le Foyer Rural de Portiragnes quittait la fédération départementale du Mouvement Rural et s’appellerait dorénavant « Portiragnes Loisirs ». Une page s’est tournée mais pas n’importe laquelle. Ce changement n’est pas anodin contrairement à ce qu’il semble ou qu’on voudrait laisser penser. Il est déjà un indicateur d’un changement de perspectives du conseil d’administration qui le dirige aujourd’hui et dans le même temps d’un changement géographique et sociologique édifiant comme significatif. Ainsi plusieurs constats s’imposent :
- Portiragnes n’est plus en zone rurale, mais est devenue une ville dortoir. L’agriculture et la viticulture sont « presque » devenues des activités économiques annexes.
- Les agriculteurs ne sont plus depuis longtemps concernés par le foyer rural.
- Nous sommes depuis longtemps entrés à Portiragnes dans l’ère des loisirs et de la consommation d’activités.
- Les valeurs du Mouvement Rural et de la Fédération ne sont plus celles du conseil d’administration du Foyer Rural.
Constats qui ne nous étonnent pas plus que cela et nous comprenons fort bien que les adhérents aient pu vouloir se démarquer des objectifs du Mouvement Rural. Ceux-ci s’inscrivent dans le champ de l’économie Sociale et Solidaire et dans une réflexion sur l’aménagement du territoire, le développement local ainsi que sur les actions visant au maintien du lien social et de la coopération.
La Fédération des Foyers Ruraux née en 1946 avec le soutien et l’accompagnement du ministre de l'agriculture François Tanguy Prigent a été créée dans le cadre du CNR* par la volonté politique partagée par d’autres mouvements de porter un projet d’Education Populaire (avec majuscules s’il vous plaît). Si cette volonté existe encore dans certains Foyers Ruraux départementaux comme ailleurs ce n’est visiblement plus le cas à Portiragnes. Nous le comprenons bien d’ailleurs la réalité sociale de Portiragnes a bien changé : de village viticole où prédominait un salariat agricole, elle est passée à un village d’employés, de salariés, de commerçants et surtout de jeunes retraités qui n’ont plus guère à l’esprit la volonté d’une transformation du monde mais plutôt l’espérance d’une vie confortable où le divertissement et le loisir personnel sont devenus une fin en soi. Il est donc tout à fait logique sinon évident que le Foyer Rural de Portiragnes abandonne ces vieux oripeaux d’une volonté de transformation sociale pour enfiler les pantoufles confortables du loisir à tout va, félicité en cela par Mme Chaudoir si on en croit le Midi Libre.
Pour info :
Education Populaire : Le Mouvement Rural de l’Hérault s’inscrit dans la lignée des associations d’Education Populaire dont la définition pourrait être : une forme originale d’accès au savoir et à la culture visant à donner à chacun les moyens de mieux participer à la vie démocratique de la cité. L’éducation populaire est une valeur et une pratique.
*CNR : Conseil National de la Résistance
Photo trafiquée à partir d'une photo du site Portiragnes Passion :
les concessions à la plage et enquête publique
- Écrit par Luc L.
Le conseil municipal du 17 décembre s'est tenu trois mois après celui du 18 septembre - une paye ! (Il existe beaucoup de municipalités qui réunissent le conseil municipal tous les mois afin de débattre des affaires de la commune).
A cette fréquence le conseil de ce mardi 17 décembre aura sûrement été l'avant dernier du mandat 2014-2020 de Mme Chaudoir puisque les élections municipales se tiendront les 5 et 12 mars 2020.
Il sera bientôt donc temps pour les élus de Mieux Vivre à Portiragnes de faire le bilan de ce mandat et de notre action sur ces six années. Nous commencerons ce bilan dès le mois de janvier et nous y consacrerons plusieurs articles sur notre site que nous conclurons par l'avenir de notre liste à l'aune des élections de 2020.
Mais avant cela, nous voudrions revenir sur ce dernier conseil municipal, qui bien que n'ayant rien d'exceptionnel a abordé quelques sujets susceptibles d'interessés les Portiragnais. Notamment en ce qui concerne les traités de concessions des plages, autrement dit les concesssions des paillotes.
A Portiragnes, nous avons ainsi 4 sous-traités de concession : plage de la Redoute - plage du Bicentenaire - plage du Bosquet - plage ouest/ la Rivièrette.
Les sous-traités de concession arrivant à échéance, il s'agissait de lancer une nouvelle procédure de concession qui ira jusqu'en 2025. C'est ce qui a été fait en septembre quand le conseil municipal de septembre a voté à la majorité (nous nous sommes abstenus) le principe de délégation de service public de plage et l'autorisation de lancer la procédure de mise en concurrence en vue de l'attribution des lots.
Déjà à notre grand étonnement, le descriptif des caractéristiques des lots reprenait à l’identique les activités des concessionnaires actuels. Nous pensions qu'un lancement d'une nouvelle procédure de mise en concurrence, aurait pu (dû) être l'occasion pour les futurs candidats de proposer de nouvelles activités. Mais en ne changeant aucune des caractéristiques, les candidats y répondant au mieux sont les concessionnaires actuels. Comme d’habitude, malgré nos remarques, le conseil municipal a voté la délibération telle quelle en septembre sans trop de débats.
Mais alors que l'on croyait en avoir fini avec la procédure de concession des lots de plage, voilà qu'au dernier conseil municipal de décembre on nous a présenté un avenant portant sur une modification des 4 lots. Si les superficies ne changent pas, par contre leurs dimensions ont été modifiées. Ces nouvelles dimensions ont été préparées avec les services de la préfecture (la DDTM) afin de remédier à la réalité de la plage et à son rétrécissement. Au vu de ce qu'on nous a présenté elles ne seront pas sans conséquences sur la réalité des espaces laissés libres d'accès au public quand on sait que les distances minimales à la mer ont été déjà réduites sur certains lots à 10 mètres au lieu de 20.
Les nouvelles dimensions
- la redoute : Longueur = 72 m ; largeur = 7 m (anciennes L = 33 m ; l = 15 m )
- le Bicentenaire : L = 30 m ; l = 16 m (anciennes L = 25 m ; l = 20 m )
- le Bosquet : L = 72 m ; l = 7 m (anciennes L = 33 m ; l = 15 m )
- la Rivierette : L = 40 m : l = 30 m (identiques à l'ancienne) ; rotation pour laisser une distance à la dune de 5 m.
Ce sont les nouvelles longueurs des lots sur les plages de la Redoute et du Bosquet qui nous interrogent le plus. Le doublement de leur longueur aura pour effet (au moins visuellement) d'accroître la place des paillotes sur le domaine public. Mais nous pensons que cela ira au-delà car avec 10 m de distance (règlementaires) à la mer, on suppose qu'il deviendra difficile de s’installer sur la plage entre la paillote et la mer. Ce qui fait que même s’il reste un couloir de circulation, de plus en plus étroit d’ailleurs, les paillotes occuperont de fait davantage d'espace.
Surprenant et surtout regrettable si l’on songe que cette reconfiguration des concessions des paillotes ne s’est visiblement pas inscrite dans le cadre d'une réflexion à moyen et long terme quant au devenir de la plage et des aménagements nécessaires pour répondre à son rétrécissement voire sa disparition.
Quand on change les dimensions sans toucher aux surfaces sous prétexte du rétrécissement des plages, on se demande à quelles logiques répondent ces modifications. Le bon sens aurait voulu qu’avec le rétrécissement de la plage pour conserver les équilibres, on revoit les dimensions et les surfaces occupées par les paillotes quitte à ...
L'enquête publique est ouverte depuis le 19 décembre et sera clôturée le 03 janvier 2020. Des dates de consultation peu évidentes, entre les fêtes de Noël et le 1er de l'an. Malgré tout, nous espérons que chacun se sentira suffisamment investi pour aller commenter les modifications. Nous n’attendons pas grand-chose de cette consultation, malgré tout, nous pensons qu’il est important de prouver notre intérêt pour le village et démontrer qu’un nombre important de Portiragnais est attentif aux projets, aux décisions prises et à leur adéquation avec l’intérêt général.
Les jours sont comptés...Le dossier est téléchargeable sur le site de la ville ci-dessous (bas de page) ou consultable directement à la mairie aux heures d'ouverture.
Dossier bien plus complet que le plan fourni aux conseillers municipaux où pour avoir les dimensions réelles, il fallait faire ses propres calculs.
http://www.ville-portiragnes.fr/
Pour info, le descriptif de l'appel d'offre déjà clos.
ci-dessous le plan des implantations des lots à concéder.