On ne sait où et quand se prennent les décisions chez nos confrères de la majorité municipale. Cette invisibilité nous fait souvent grincer des dents. Il en est ainsi des réfections des toitures, pour lesquelles une demande de subvention a été votée à l’unanimité lors du conseil municipal du 6 décembre 2018 (il s’agissait d’obtenir des subventions). On aurait pu supposer qu’à l’occasion de ces réfections devenues très urgentes, puisque l’eau commençait à s’infiltrer dangereusement dans la salle polyvalente (Jean Ferrat), les écoles, etc., on étudie sérieusement la possibilité de doter les toits de ces bâtiments publics de panneaux solaires.
Pour cela, il était indispensable de faire appel à l’accompagnement technique d’un organisme compétent pour analyser la faisabilité, l’intérêt de cette opération et enfin les coûts. Mais nous n’avons jamais eu vent d’une quelconque étude de faisabilité et cela nous choque autant que ça nous désespère.
Il est vrai que le problème des toitures devenait urgent, car les fuites d’eau ne datent pas d’hier. Une urgence définitivement funeste à l’opportunité de faire d’une pierre deux coups.
Nos états d’âme n’ont rien à voir avec l’attitude commode du « Y’a qu’à faut qu’on ». Loin de là ! Ce que nous exprimons c’est un ras-le-bol de voir le nombre d’occasions ratées s’accumuler et constater toutes les carences dont souffre la gestion municipale en raison de l’absence de commissions qui, selon nous, enrichiraient les décisions par l’apport de visions et de préoccupations différentes.