Décès de Michel Szewczyk
- Écrit par Luc L.
Je ne pensais plus devoir écrire sur le blog de Mieux Vivre à Portiragnes mais une très triste nouvelle me pousse à le faire aujourd'hui. Une dernière prise de parole en guise d'adieu à Michel Szewczyk, le compagnon qui siégeait avec moi au conseil de municipal pour la liste Mieux Vivre A Portiragnes, une force de gauche citoyenne et solidaire. Michel s'est éteint le dimanche 5 juillet dans la soirée, emporté par un cancer foudroyant. Nous avons perdu avec Michel, un ami et un camarade d'engagement. Bien entendu, nos pensées vont vers Françoise et sa famille à qui nous présentons nos plus sincères et amicales salutations.
Les obsèques se dérouleront demain lundi 13 juillet à 15h 30 au Puech Bleu. Ses amis se retrouveront ensuite au Bar de l'Occitan à Portiragnes.
QUAND ON BAT DE L'AILE OU LE COEUR EN MORCEAU / dernières lignes écrites
- Écrit par Luc L.
Analyse toujours aussi personnelle n’engageant, malgré le nous d’usage, que son auteur.
INTRO MUSICALE
https://www.youtube.com/watch?v=d0HpWeH_Tjs
Ces dernières lignes sont les plus douloureuses parce qu’elles entérinent une situation et pour quelques-uns d’entre nous une déception de n’avoir pu réussir à franchir les obstacles pour relancer le mouvement et la machine dont le moteur a posteriori, ne fonctionnait déjà plus que sur un piston.
Pourtant l’idée était belle et aussi séduisante que le chant d’une prima donna mais, car il y en a souvent un, il est parfois des idées comme des prima donna, elles ne durent qu’un temps.
Nous nous rendions bien compte que nous ne pourrions continuer longtemps au risque d’aller dans le mur et qu’il fallait bouger. C’est de cette idée de bouger et de faire bouger qu’un groupe constitué de nouveaux venus et d’anciens membres de la liste Mieux Vivre à Portiragnes ont réfléchi à une association qui serait à même de conduire un double projet susceptible d’agréger les nouvelles énergies dont nous avions besoin pour donner sens à notre démarche.
- Réfléchir et concevoir des actions centrées sur l’intérêt général et son développement dans une démarche participative.
Sous ces mots un peu généraux et abscons, se donnait le désir d’agir concrètement et s’approprier ou se réapproprier ce qui nous concerne ici à Portiragnes parce que nous y vivons. Une manière d’agir directement sur notre environnement proche, de le faire bouger dans le sens d’une utilité sociale afin de dessiner de nouveaux horizons au bien commun.
« Tout un programme », enfin pas tout à fait, parce que de programme, il n’en était pas question, mais plutôt d’étudier en parallèle, les enjeux et les défis à relever dans l’intérêt de Portiragnes et de ses habitants (plutôt ce que nous aurions jugé comme tel).
Un matériau qui aurait pu ou dû être à disposition d’une éventuelle liste qui s’en serait emparée et de futurs candidats désireux de se lancer à la conquête de la mairie et d'une forme de pouvoir institutionnel.
C’est dans cet esprit que se créa l’association Bouge Ton Village.
Mais bien vite de vieux démons nous rattrapèrent, nous replongeant dans les affres d’une nouvelle scission entre fondateurs de BTV, surgie d’un clash aussi soudain qu’insoupçonnable mais traduisant certainement des divergences de démarche et de stratégies soustraites à notre circonspection.
Dans cette nouvelle division, nous avons perdu beaucoup de notre énergie et certainement de notre désir. Beaucoup d’inquiétudes se sont manifestées quant aux intentions de s’engager dans la perspective d’une campagne. Les échéances se rapprochant, la conscience des contraintes et des renoncements que chacun devrait supporter s’est renforcée, jusqu’à faire vaciller les dernières volontés.
Surtout qu’il devenait de plus en plus difficilement acceptable de concevoir construire un projet qui n’aurait pas été le résultat d’une mobilisation et d’une détermination partagée au-delà de nos seuls rangs.
Or, plus nous observions Portiragnes et plus nous nous interrogions sur le bien-fondé de notre démarche, nous demandant s’il pouvait exister une quelconque adéquation entre nos aspirations et celles des Portiragnais. Nous faisions le constat aussi radical que désespérant qu’aucune volonté de dépasser la démocratie représentative pour passer à une démocratie plus directe ou participative ne s’exprimait.
Il est vrai comme nous l’avons déjà écrit qu’il est difficile à l’échelle d’un village, de se dévoiler, de se battre contre, de se bagarrer pour le changement et plus particulièrement contre ceux qui détiennent « le pouvoir ». D’abord, parce qu’il y a beaucoup de liens d’interdépendance comme d’avenirs à préserver. Et parce que beaucoup de nos concitoyens, malheureusement, ne font ou ne veulent pas analyser l’action municipale à travers une grille politique.
A tort, nous semble-t-il, puisque que les décisions résultent de choix politiques. Ce refus qui se traduit tellement souvent par ces mots « Moi je ne fais pas de politique » nous apparaît être l’expression d’un redoutable renoncement à vouloir changer les choses ou à penser qu’il est possible de le faire.
Ou, une manière d’exprimer que ceux qui détiennent le pouvoir sont en adéquation avec nos propres intérêts ou notre vision du monde. Ou encore, une façon de refuser de s’engager par peur du conflit et de perdre sa tranquillité.
C’est certainement regrettable parce que cela laisse le champ libre aux « experts » et autres techniciens qui, pétris de logiques entrepreneuriales, ont définitivement muté les citoyens en simples consommateurs et gouvernent en fait de plus en plus les municipalités (comme toutes les autres collectivités) en imposant leurs propres visions à des élus de plus en plus livrés à leur technicité ou se cachant derrière.
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Rentrée des classes le 11 mai : gare aux dégâts
- Écrit par Luc L.
Nous sommes à quelques jours maintenant de la date fatidique du 11 mai, date du déconfinement partiel et du retour pour les uns au travail et pour les autres à l'école.
Nous ne parlerons pas de la gestion de cette crise sanitaire et les nombreux problèmes qu'elle a suscités, dans de nombreux domaines allant des services publics à l'Etat d'urgence, et sur lesquels il sera impératif de revenir si on ne veut pas rater l'opportunité d'opérer les premiers changements économiques, sociaux et environnementaux que la crise exceptionnelle que nous traversons a pointée.
Non, nous voulons évoquer pour l'heure ici la question plus pragmatique de la rentrée des écoles sur Portiragnes.
Avant même de connaître les conditions dans laquelle il a été dit par le ministère et ses services qu'elle se ferait, on doit au préalable s'interroger sur les objectifs de cette rentrée.
Bien sûr, tout le monde a compris qu'il s'agissait avant tout de liberer les parents afin qu'ils puissent retourner au travail et que l'objectif de lutte contre l'inégalité scolaire, n'était dans ce cas qu'un prétexte. Beaucoup de maires et de conseils municipaux se sont exprimés sur leur impossibilité à mettre en oeuvre en si peu de temps les conditions sanitaires satisfaisantes pour pouvoir ouvrir leurs écoles au 11 mai. Un front du refus qui s'argumente sur les incertitudes et le refus fort légitime de ne pas faire prendre, aujourd'hui, des risques aux enfants et au personnel alors que d'autres secteurs économiques comme les restaurants, les cafés vont rester fermés par précaution (voir texte complet ci-dessous). Ils demandent donc un report de la rentrée à une date ultérieure, quand les conditions de la rentrée seront suffisantes et le dépistage de la population sera réalisable.
Les risques sont effectivement bien réels. Preuve en est que le ministère de l'éducation nationale s'est fendu d'un protocole sanitaire à la réouverture et au fonctionnement des écoles maternelles et élémentaires d'une cinquantaine de pages décrivant toutes les dispositions à prendre pour garantir une sécurité soi-disant suffisante mais d'un niveau encore difficilement mesurable.
Ces dispositions et recommandations dont l'exécution et le contrôle seront à la charge des collectivités, des enseignants et des parents et mises en oeuvre sous leur responsabilité sont d'une grande complexité. Elles requièrent sans doute, de faire des choix en vue de l'organisation de ce temps d'école jusqu'aux vacances. Ce qui suppose au préalable d'avoir pris le temps de la concertation entre les différents partenaires (personnel enseignant, d'entretien, intervenants extérieurs, parents et élus) afin d'y voir un peu plus clair dans ce retour à l'école imposé.
En effet différents objectifs peuvent finalement être poursuivis dans cette reprise :
- permettre aux parents de retourner au travail,
- aider les enfants en difficulté scolaire et en mal d'aide en temps de confinement (ce qui ne veut pas dire ne faire venir que ces enfants à l'école),
- atténuer les effets possiblement négatifs du confinement et de l'isolement,
- préparer la rentrée de septembre, sur la base d'une rentrée pour tous, en prenant en compte qu'il faudra encore continuer d'utiliser les gestes barrières, la distanciation physique
- ...
Si l'on veut être le plus efficace possible et si on a décidé, malgré les risques et les nombreuses réticences, de se conformer à ce retour du 11 mai, il convient sûrement, avant toute autre chose, d'avoir défini et choisi avec tous les partenaires, et très clairement le ou les objectifs principaux que l'on veut poursuivre, d'où découlera la forme d'organisation en adéquation et surtout le sens de ce retour à l'école tant pour les parents que pour les enfants et les enseignants.
Pour autant, ceci fait, tous les obstacles ne sont pas levés tant est complexe l'optimisation de la sécurité du retour à l'école. Les entraves et les difficultés se devinent à la lecture de la longue liste d'injonctions établie dans le protocole à l'intention des écoles dont on se dit qu'il ressemble quand même beaucoup (trop) à celui destiné aux entreprises.
Beaucoup de choses sont prescrites tant au niveau du nettoyage que de la désinfection, réclamant des collectivités de forts ou de nouveaux moyens. De plus, une fois ces questions résolues, quand c'est possible parce que la collectivité dispose des ressources humaines et financières pour le faire, il reste beaucoup de contraintes très dures à appliquer : l'entrée et sortie de l'école et des classes, l'isolement des enfants, les circulations à l'intérieur de l'école et même des classes, les règles de distance physique, nécessaires en toute circonstance ; dans les couloirs, les sanitaires, la cour...
Rien que pour les sanitaires, selon leur organisation spatiale, le lavage et l'essuyage des mains répondant aux préconisations peuvent se révéler très difficiles à exécuter : distance physique, papier d'essuyage individuel...nettoyage et désinfection plusieurs fois par jour. De plus se rajoute la nécessité d'instaurer, si on suit les prescriptions, des contrôles permanents de l'application de toutes les mesures.
Ce protocole, en outre, conçu sur les prescriptions sanitaires supposées suffisantes ne tient pas compte des spécificités des d'écoles et des enfants, lieu des apprentissages par excellence, du vivre ensemble en collectivité où l'essentiel des apprentissages se fait à travers les interrelations avec les autres, par le biais des échanges, des jeux et des contacts que ce soit pour les plus petits comme les plus grands qui n'ont ni l'endurance, ni les capacités des adultes.
Restent aussi d'autres problèmes dont ne tient absolument pas compte le protocole comme par exemple, la fatigue due à la vigilance permanente que réclament les gestes barrières et le contrôle sur soi pour les enfants comme les enseignants. Grand est le risque de voir les enfants comme les enseignants, fatigués en fin de journée, être moins à même de conserver la concentration voulue surtout, ici à Portiragnes, où la chaleur dans les classes en cette période de l'année affaiblit les organismes.
La question est donc de savoir comment les enfants vont être capables de tenir le coup dans le temps après plusieurs jours tant les journées peuvent être longues, et grand le besoin, ou la nécessité, d'interagir avec les autres. Difficile en effet pour un enfant de devoir vivre toute une longue journée avec moins de proximité qu'il en a eu pendant le confinement dans sa famille pendant deux mois.
Si l'on suit les prescriptions nécessaires à la sécurité, les enfants devront pendant toute la journée être à même de toujours garder cette distance physique nécessaire d'un mètre avec les autres, de rester sur le qui-vive, privés de tout contact physique et de jeux collectifs en étant sous le contrôle permanent des adultes les encadrant.
Difficile ! Très difficile ! Surtout si l'on songe à la durée que peut prendre la journée pour ceux qui par nécessité fréquenteront en plus le CLAE du matin et du soir et la cantine pour le temps méridien. La tâche, malgré toutes les bonnes volontés du monde peut devenir aussi lourde qu'irréalisable.
On a donc de quoi s'inquiéter pour les enfants (comme pour le personnel enseignant, communal et associatif) obligés de fréquenter l'école jusqu'à la fin de l'année dans ces conditions et on se demande comment ils supporteront ces multiples contraintes. On n'ose pas évoquer les difficultés de l'école maternelle, où les enfants vivent et font leur apprentissage en permanence en interaction avec les autres et on s'interroge sur ce qu'ils pourront ou auront le droit d'y faire et sur ce que, par la force des choses, les enseignants trouveront à leur faire faire.
Le défi est immense et grandes les responsabilités. Sans savoir à l'heure où nous écrivons ces lignes quels sont les choix qu'a fait la municipalité et le dispositif mis en place pour le 11 mai, on espère et on souhaite que tout a bien été pris en compte et pesé au regard des risques pris par ceux qui, par obligation ou non, enverront leurs enfants à l'école et tous les personnels travaillant dans les écoles et les dispositifs périscolaires.
QUAND ON RESTE LE BEC DANS L'EAU OU VERS LA FIN DES HARICOTS
- Écrit par Luc L.
Troisième partie : QUAND ON RESTE LE BEC DANS L'EAU OU VERS LA FIN DES HARICOTS
Bilan de l’action des élus de Mieux Vivre à Portiragnes et autres réflexions (personnelles)
A) En tout premier lieu, malgré le caractère difficile de notre mission, nous avons essayé avec nos faibles moyens de rendre compte de nos positions. Pour ce faire, il a fallu toujours partir à la recherche des informations afin de comprendre les tenants et les aboutissants des délibérations et des dossiers afférents. Les deux élus n’ont pas toujours suffi à cette tâche qui selon les dossiers pouvaient se révéler colossale.
Ce qui est certain, c’est que notre action comme notre influence sur les dossiers a été plus que réduite mais peut-être pas inexistante parce que nous avons en permanence été des « empêcheurs de tourner en rond » en interrogant le bien-fondé des décisions que l’on nous présentait.
Ainsi, si notre impact n’a pas été toujours été très visible, notre présence active a toujours représenté un contre-pouvoir à la majorité à l’intérieur du conseil comme à l’extérieur, par l’intermédiaire du journal la Lettre où beaucoup d’articles ont été consacrés aux affaires municipales et aux dossiers dont nous souhaitions informer les Portiragnais en raison de l’importance de leurs enjeux et parce que nous savions que la majorité ne communiquerait pas dessus ou longtemps après ; pour exemple la ZAC, les travaux du cœur de ville, le doublement de l’approvisionnement en eau…
Ainsi, jusqu’en 2018 avec la Lettre et après, via le site de Mieux Vivre à Portiragnes, nous avons toujours cherché à informer les Portiragnais de ce qui se passait dans la commune. Pour autant, notre influence sur la vie politique portiragnaise est difficile à mesurer car nous n’avons que quelques indicateurs sur celle-ci. : les retours de personnes rencontrées, l’attitude des élus de la majorité à notre égard. Ce qui est quand même peu. Si beaucoup de personnes lisaient régulièrement et attentivement La Lettre, il ne s’est pas créé autour d’elle d’interactions suffisantes avec les Portiragnais, bien que très souvent, on nous demandait la date de publication de la prochaine et les sujets que nous y aborderions.
Si nous avons eu quelques coups de chapeau et des louanges, nous avons aussi reçu le reproche assez récurrent de beaucoup critiquer et de ne pas faire suffisamment de propositions. Cette critique que nous admettons et comprenons fort bien ne nous apparaît pas toujours juste.
D’abord car toute critique se fonde sur un point de vue différent, sinon il n’y aurait pas critique.
Pour critiquer, il faut observer quelque chose qui ne convient pas, qui n’est pas comme nous voudrions que les choses se fassent. Par nature, il y a donc adossé à toute critique une contre-proposition.
Pour illustrer notre propos, prenons par exemple l’avenant de la ZAC, signé par la municipalité avec GGL. Nous critiquons le fait que GGL semble y être gagnant aux détriments des Portiragnais et que l’argent investi par GGL en compensation aurait pu ou dû être utilisé autrement au moins en partie.
Autre exemple, nous relevons toujours dans la ZAC que les nouveaux logements ne seront pas équipés d’un double approvisionnement en eau potable et brute, alors que c’est possible. Ces deux critiques s’appuient sur une vision différente de celle de la majorité et portent en elles des contrepropositions. Peut-être qu’on attendait de nous que nous précisions et détaillions nos contrepropositions, ce qu’effectivement nous avons un peu chuinté parce que les dossiers contradictoires étaient très nombreux et qu’il aurait fallu davantage de temps et de moyens pour être en capacité de le faire et enfin que le moment n'était pas arrivé de concrétiser ces propositions dans un projet.
Toujours est-il que ces points de désaccord, dans le cadre normal de la démocratie, aurait dû aboutir à un débat où chacune des parties aurait présenté ses arguments. Bref, en critiquant, nous ne faisions que pointer du doigt des dossiers méritant débat parce qu’il existait des alternatives.
Le hic c’est que ces débats n’ont jamais été possibles au sein du conseil et plus particulièrement au sein des commissions municipales puisqu’elles n’existaient plus.
D’autre part, si une partie de notre message a manqué de visibilité, nous ne sommes pas convaincus que ceux-là même qui voyaient dans nos critiques une posture aient vraiment voulu nous entendre ou nous écouter. Pour une simple et bonne raison, c’est que notre journal La Lettre dérangeait ou les dérangeait. Comme tous les journaux qui ne se coulent pas dans l’approbation d’une « parole officielle » La Lettre perturbait le confort dans lequel beaucoup sont installés et dont par expérience, on sait qu’il est pénible de sortir.
Cette attitude, très naturelle, relève d’un système de défense normal qu’on observe partout parce que les « opposants » et leurs écrits obligent à s’interroger, à réfléchir, à juger, se positionner et en bout de chaine parfois à prendre parti. Donc à s’impliquer ou s’engager : ce que souvent on n’a guère envie de faire pour de nombreuses raisons qui vont de notre paresse « naturelle », au refus de s’engager et de perdre ainsi une tranquillité qui nous permet de vivre en bon voisinage, dans un climat que l’on souhaite le plus paisible possible.
Reste que nos nombreuses oppositions auraient dû, si les choses avaient suivi normalement leur cours, dessiner les contours d’un projet proposé aux Portiragnais aux élections municipales de 2020.
Surtout que notre expérience de six ans, notre apprentissage d’élus et notre connaissance des dossiers se seraient révélés essentiels dans la co-construction de ce projet avec les Portiragnais comme nous l’aurions souhaité.
Pause musicale : hommage à Graeme Allwright
https://www.youtube.com/watch?v=gwGc5naETuY
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CONSEIL MUNICIPAL : PAS ENCORE DE CHANGEMENT
- Écrit par Luc L.
Nous pensions passer à autre chose au lendemain du 15 mars.
La messe était dite et le gouvernement comme le président ne voyaient pas alors pourquoi il aurait fallu reporter les élections municipales. Et puis, devant la vitesse de la pandémie et l’exemple d’une Italie atteinte de plein fouet, les scientifiques et le corps médical ont eu enfin gain de cause obligeant le gouvernement à prendre des mesures un peu plus radicales que ce qu’il n’avait fait jusqu’alors.
Le second tour des élections municipales a été reporté, puis enfin après bien des tergiversations, ce fut la même chose pour l’installation des nouveaux conseils municipaux.
Depuis le confinement a été décrété et l’état d’urgence sanitaire a été promulgué le 23 mars 2020.
Parmi les mesures de cet état d’urgence quelques-unes touchant l’installation des nouveaux conseils municipaux et les EPCI concernent Portiragnes et l’Agglomération Hérault Méditerranée.
• « Les conseillers municipaux et communautaires, qui ont été élus au premier tour, entrent en fonction à une date fixée par décret, au plus tard au mois de juin, après avis du comité de scientifiques. La première réunion du conseil municipal se tient au plus tôt cinq jours et au plus tard dix jours après cette entrée en fonction. Le mandat des conseillers en exercice avant le 15 mars 2020 est prolongé jusqu'à cette date. »
• Pour les EPCI où tous les conseillers communautaires n’ont pas été élus au 1er tour, les conseillers communautaires élus au premier tour et ceux qui sont maintenus provisoirement en fonction siégeront côte à côte durant une période transitoire. Et ce jusqu'à la première réunion de l’organe délibérant suivant le second tour des élections. Cette réunion d'installation se tiendra "au plus tard le troisième vendredi suivant ce second tour".
• Le vote du budget primitif de la municipalité, quant à lui, pourra être adopté jusqu’au 31 juillet 2020, soit par le nouveau conseil municipal, soit par l’ancien conseil municipal si l’exécutif donc le maire et les adjoints en décident ainsi.
PRISES DE BEC
- Écrit par Luc L.
Seconde partie : PRISES DE BEC
Dans cette partie nous listons les points et les domaines qui ont fâché et fâchent encore : nos griefs
(les désaccords avec la majorité pendant ce mandat ou les points pour lesquels nous sommes intervenus lors des conseils ou dans la Lettre)
Introduction musicale
https://www.youtube.com/watch?v=Fj98WlaNp2o
Budgets |
Nous avons eu beaucoup de difficultés à obtenir toutes les informations budgétaires. Nous avons cessé de voter le budget primitif parce qu’en raison de décisions modificatives beaucoup trop fréquentes, il n’était plus du tout le même au bout de quelques temps. Notamment en ce qui concerne les investissements : nous votions des investissements qui disparaissaient au profit de nouveaux. Cela a pour effet de laisser penser à un manque d’anticipation et de programmation. Il a manqué tout au long du mandat un plan pluri-annuel d’aménagement et de travaux. |
Les restes à réaliser |
Nous pensons que les restes à réaliser qui auraient dû être des investissements sur lesquels la commune est engagée mais qui n’ont pas encore été réalisés au 31/12, ont souvent en fait correspondus à des réserves sans engagement. |
La fiscalité |
Nous nous sommes toujours opposés à voter des taux de taxe d’habitation et de foncière identique : 16,75 % dans la mesure il est très inégalitaire au détriment des locataires. Si les impôts n’ont pas augmenté pendant ces six ans c’est que d’une part il avait déjà augmenté très régulièrement depuis une dizaine d’années : passant de 13,96 en 2004 à 16,75 en 2014, et parce que la municipalité bénéficie par rapport à d’autres petites villes de sa taille des impôts locaux des maisons secondaires de la plage |
L’emploi des ressources |
Malgré une part importante du budget dédié au personnel, il existe un réel besoin dans l’effectif su personnel de cadres (A ou B) afin de doter les services d’une réelle direction bénéfique à la qualité des services publics. |
Les travaux |
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La mairie |
Le coût de la mairie Le choix énergétique du bâtiment/ son emplacement/ son dimensionnement Le bâtiment de la mairie répond aux exigences de la RT 2012 même si elle est économe en énergie et non à celles de la RT 2020, alors qu’elle a été inaugurée en 2019. La maison positive, ou bâtiment à énergie positive (Bepos), constitue la notion sur laquelle s'aligne la RT 2020. Ces constructions consomment moins d'énergie qu'elles n'en produisent, grâce à des solutions techniques (pour le toit, les murs, les fenêtres ou encore les vérandas) permettant l'accumulation et la restitution de chaleur et la production d'électricité sont également présentes.C’est sans doute pour cela que son toit n’est pas équipé de panneaux photovoltaïques par exemple. |
Les travaux du cœur de ville et au village |
Nous sommes intervenus pour l’enfouissement des réseaux secs : notamment rue de la Libération, Duchartre…cœur de ville ; nous avons obtenu a minima que dans le cœur de ville les câbles pour la fibre optique soient présents et enterrés pendant les travaux sur l’assainissement. |
Cœur de ville |
Le manque de préparation et de programmation du chantier parce que la construction de la nouvelle mairie était prioritaire dans le calendrier électoral de Mme Chaudoir et qu’il fallait engager les travaux avant la transmission de l’assainissement à l’agglomération. L’impréparation/ un calendrier irréaliste La date des travaux pendant la période estivale. Le choix des sols, bitumes noirs sur la majeure partie des rues, assombrissant le cœur de ville et réflexion de la chaleur L’absence de concertation avec les habitants L’organisation et le suivi du chantier/ en rapport à l’amiante Piétonisation problématique : pas de valorisation de la place du Puits/ traitement de la Place de l’Hôpital |
La voie douce |
La voie douce a coûté beaucoup d’argent : plus de 400 000 € pour une piste sous-utilisée alors qu’il n’y avait d’autres priorités. Le chemin de Vias par exemple. La non insertion de cette voie douce dans un programme de réalisation de pistes cyclables permettant de favoriser et d’inciter aux déplacements doux. Sa réalisation « bâclée » puisque le sol a bougé et qu’elle est déjà fissurée de toute part. Un éclairage inconvenant et inutile quand il s’agit de réduire les pollutions lumineuses. |
La cave Teyssier |
Déplacement du transformateur devant la façade de la cave Teyssier qui altèrera durablement sa façade. |
La rénovation des bâtiments publics |
Les toitures de la salle Jean Ferrat et des écoles rénovées sans qu’on étudie la possibilité de les équiper de panneaux photovoltaïques |
La station : le bd des Dunes et le boulevard de la Tour du Guet |
Pas de travaux et surtout d’aménagement sur ces deux boulevards qui sont des axes structurants de la station balnéaire alors que des petites rues ont été rénovées/ pour nous erreur de priorité |
La programmation des travaux |
Demande de calendrier et du programme des travaux restée sans réponse |
La transition écologique |
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Zéro-Phyto |
Achats en 2017 de 20 000€ de désherbants ; 34 000 € de fongicides et insecticides et 15 000€ d’engrais dans le budget de l'agglomération : votés par les élus portiragnais |
Une seule voie douce sans lien avec d’autres pistes |
Pas de plan général sur la commune de pistes cyclables malgré nos nombreuses observations |
L’eau brute/ l’eau potable |
Pas de projet de doter les futurs logements de la ZAC d’un double approvisionnement en eau potable et brute (BRL) |
Jardins partagés/jardins ensemble |
Rien sur les jardins partagés ou les jardins ensemble sur la ZAC alors qu’il y a déjà des accès à l’eau brute |
Pollution et zéro déchets |
Pas de réflexion et de prise en compte de la pollution lumineuse ni d’action vers le zéro déchets |
Transition énergétique |
Pas de promotion d’une dynamique collective de transition énergétique, dans laquelle des habitants s’expriment et participent aux prises de décision |
La rénovation des bâtiments publics |
Les toitures de la salle Jean Ferrat et des écoles rénovées sans qu’on les équipe de panneaux photovoltaïques |
L’alimentation et les circuits courts |
Pas de mise en œuvre d’un dispositif en direction de l’approvisionnement de la cantine via les circuits-courts |
Viticulture |
Rien sur la production plus efficiente en ressources matières et en énergie notamment dans l'agriculture et la viticulture |
La mairie |
Bâtiment non RT 2020 |
Incinérateur de Béziers |
Une grave inquiétude pour la santé des Portiragnais |
Linky |
Vote d’une motion au conseil municipal : 3 pour la motion pas de volonté de prendre un arrêté municipal |
L’aménagement |
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La plage |
Des travaux d’aménagement battus en brèche par la mer ; des enjeux forts sur le devenir de la plage à court, moyen et long terme ; autant d’experts que de vision et de préconisations |
Le doublement d’approvisionnement de l’eau |
Coût plus de 2 millions d’euros/ qui financer les travaux : la commune ou l’agglo ? A priori ce sera la commune/ la contrepartie de GGL aurait pu servir à ce financement. En 2020, la commune est endettée à hauteur de 5 000 000 € |
Les déplacements doux |
Pas de plan général sur la commune de pistes cyclables et de déplacement doux |
La Mairie |
Un emplacement dont on doute qu’il contribue à redynamiser le centre-ville où se trouvent les commerces. |
La ZAC Sainte Anne |
Le prix d’achat proposé aux propriétaires et la DUP la gestion des espaces sur la ZAC : notamment pour les logements sociaux La sectorisation des résidences : logements sociaux regroupés. |
La ZAC Sainte Anne la nouvelle convention avec GGL |
L’avenant de 2017 : 5 900 m² de plus en construction maison individuelle et intermédiaire Sur la base de 214€ le m², GGL augmente ses gains de : 1 262 600€ Alors que la différence entre le 1er traité de concession et le second procure seulement un gain de 210 000€ supplémentaire à la commune. Les choix sur les contreparties qui ont servi à fonctionner des investissements déjà prévus (sauf pour le giratoire RD 612) sans financements des investissements pour répondre aux besoins futurs. Plus de village Séniors et pas d'Ehpad prévu. |
Commerces sur la ZAC |
Pas de commerces prévus pour une population prévue de 1 000 h : revitalisation de la zone d’activités contigüe ? Comment ? |
Le périmètre délimité des abords de l’église |
Le nouveau périmètre délimité des abords de l’église qui remplace la règle des 500 mètres d’un monument historique a été négocié : ainsi la Maison des associations, La cave Teyssier, le domaine de Saint Victor et le parc sont sortis de ce périmètre et ne requièrent plus l’autorisation des monuments historiques pour les permis de construire, les rénovations et les travaux |
Le domaine de St Victor |
Le domaine de St Victor a été vendu et un lotissement se construit qui privera la commune de possibles pour un par cet concevoir des équipements publics liés à la cave Teyssier |
Logements sociaux |
La commune est loin d’atteindre les pourcentages de logements sociaux requis pour les communes de 3 500 h = 25% Avec la ZAC, elle en comptera 10,3% |
Habitat participatif et intergénérationnel |
Pas à l’ordre du jour de l’aménageur GGL/ pas de volonté de la municipalité |
Ecoles |
Pas de construction d’école prévue sur la ZAC |
La vie du centre du village et de la station/ économique |
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Association des commerçants |
Absence d’une association fort regrettable pour le dialogue et identifier leurs besoins et pérenniser les commerces |
La poste |
Disparition de la poste à la plage/fermeture certains jours pour la poste du village/inquiétude quand à son existence future, vu qu’elle n’intègrera pas les murs de l’ancienne mairie |
Les commerçants |
Un manque d’accompagnement et de dialogue avec les commerçants. |
Les animations |
Un programme inexistant en lien avec les commerçants pour animer le centre-ville et faire venir les Portiragnais et les touristes dans le centre en-dehors de la saison touristique |
Les aides |
Peu d’aides à la pérennisation des commerces qui ont connu beaucoup de fermetures et de turn over |
La station balnéaire |
Un vieillissement des équipements et de la ZAC qui diminue l’attrait de la station |
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Un déséquilibre au profit des structures hôtelières de plein air qui proposent de plus en plus de services à des touristes en séjours courts les gardant de plus en plus captifs dans leurs enceintes |
Le tourisme |
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Commission au tourisme |
Quels bilans et quelles analyses de la fréquentation après les saisons : retard pris sur les villes touristiques avoisinantes |
Volonté de développer le tourisme |
Manque de volonté et d’actions pour développer le tourisme/ manque de moyens financiers |
Accueil des touristes |
Un accueil des touristes insuffisants : canal ; aéroport ; agenda des travaux pendant les vacances |
Externalisation des animations |
Des animations estivales externalisées |
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Des animations manquant de coordination avec les commerçants et laissés à l’initiative des uns et des autres |
Reprise de la compétence par l’agglo |
Le manque de préparation de la commune du transfert de la compétence tourisme L’absence de réelle présence politique de Portiragnes au bureau de l’office de tourisme |
La taxe de séjour |
Nous percevons la taxe et la reversons à l’agglo 2 types de perception de la taxe : forfait et réel dont on ne comprend pas l’intérêt. Les campings sont au forfait. |
L’information et la communication |
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Le Mag |
Un journal qui s’inscrit dans un cadre de communication et non d’information pour donner les moyens aux Portiragnais de comprendre et s’approprier les décisions prises et leurs enjeux |
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Une logique très libérale de l’information ou disons de la communication consistant à vendre l’action publique comme un produit. |
La jeunesse |
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Le centre de loisirs |
Les moyens du Centre de loisirs |
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L’intérêt qu’il soit encore régi par une association ? |
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Du personnel avec des statuts différents |
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Développement de la structure |
Participation et consultation de la jeunesse |
Détérioration de la politique en direction de la jeunesse/ réduction de l’ouverture du PIJ Disparition pour travaux du City/stade sans préavis et sans consultation des jeunes |
Les rythmes scolaires |
Pas de bilan de la semaine de 4,5 jours /retour à la semaine/ Quel est le bilan du comité de pilotage du PEDT ? |
La tarification de cantine |
Un portail faille mis en place avec une erreur de grille de quotient. Des tranches insuffisantes de quotient familial n’encourageant pas toutes les familles à accéder à ce service communal. |
L’intercommunalité |
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L’échelon démocratique de la commune mis à mal |
L’éloignement du centre de décision (l’agglomération) et le manque de transparence démocratique |
L’agglomération et Agde centres de décision |
Le rôle de plus en plus prépondérant de la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée et notre soumission à l’AGDE et VIAS qui sont les centres de décision de l’agglo ; voir ci-dessous le schéma de mutualisation des services/tourisme/eau et assainissement. |
Des techniciens de plus en plus influents |
La commune se reposant de plus en plus sur les techniciens de l’agglomération, ils deviennent de plus en plus influents, réduisant le rôle politique des élus. |
Schéma de mutualisation des services 2016-2020 3 niveaux |
Niveau 1 = coopération = groupements de commandes ou prestations de service ou mise à disposition individuelle ou entente Pas de transfert d’autorité Niveau 2 = mutualisation = services partagés et services communs Partage de l’autorité et mise en commun des politiques et grandes orientations Niveau 3 : transfert de compétences/Autorité transférée à l’agglo. |
La gouvernance |
La mutualisation de niveau 2 concerne essentiellement la ville d’Agde et l’Agglomération autour des idées de services partagés et de services communs sans lien avec les compétences. Cette mutualisation concerne plusieurs domaines et notamment les ressources humaines. Il s’agit de mutualiser des services en effectuant des transferts d’effectifs d’Agde vers l’Agglo mais aussi de l’Agglo vers Agde; avec en perspective une sorte de fusion de services (jusqu’au niveau DGS) entre AGDE et l’AGGLO. Ce qui revient à dire que les politiques mises en œuvre de l’Agglo et de la ville se confondront progressivement et ce autour des technocrates et non d’élus. |
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Et dans le même temps vont se mettre en place des conférences régulières pour les DGS pour les autres communes qui auront entre autres comme mission d’être la courroie de transmission de la politique réfléchie et mise en œuvre par la tête bicéphale dans un modèle vertical : |
La sécurité Niveau 1et 2 |
La création d’un centre de sécurité urbain/le déploiement de la vidéo surveillance envisagée. En stand by pour l’instantou abandonné |
La fiscalité/ Niveau 2 |
Convention cadre de coopération pour la prestation de l’observatoire fiscal à l’échelle intercommunale. |
Le tourisme / niveau 3 |
Le manque de préparation de la commune du transfert de la compétence tourisme L’absence de réelle présence politique de Portiragnes au bureau. |
L’eau et l’assainissement Niveau 3 |
Transfert à l’agglo trop rapide/inquiétudes sur la possible création d’un service public intercommunal de l'eau comme la mutualisation nous en donnerait les moyens/ choix libéral |
L’augmentation de l’eau |
Hausse de 79% de la part de l’agglomération : taxe de 0,15€ à 0,34€ le M3 |
Gestion des comptes Niveau 2 |
Transfert de la gestion des comptes de fonctionnement et d’investissement de la Commune de Portiragnes vers la Trésorerie Principale de la Commune d’Agde. |
Taxe Gemapi |
Le choix de l’agglomération de baser la taxe sur la population DGF : famille de 4 enfants = 60€ |
Le conseil de développement |
Instances de démocratie, de consultation et de proposition sur les orientations majeures des politiques publiques. Le conseil de développement a disparu en 2003 sur notre agglomération |
La gouvernance de la municipalité |
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Commissions |
L’absence de commissions municipales |
Personnel |
Le manque de cadres pour encadrer le personnel et porter de vrais politiques définispar les élus. |
Annualisation du personnel |
Police municipale – ATSEM – personnel de service |
Mise en place du RIFSSEEP |
Régime indemnitaire des fonctionnaires de l'État (RIFSEEP)/pas très égalitaire/ grandes disparités |
Le fonctionnement et les pouvoirs donnés au maire |
Délégation générale de pouvoir accordée au Maire en application de l’article L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT). 5 000 000 € au lieu de 1 000 000€ Ce qui laisse au maire la possibilité d’engager des travaux à cette hauteur sans en débattre en conseil municipal |
L’agglomération |
Aucun apport d’information au conseil municipal sur les délibérations votées au conseil communautaire Aucune information sur les votes. |
Participation citoyenne |
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Une verticalité assumée |
Une verticalité renforcée où on ne prend pas en compte ni l’opinion ni l’avis des habitants |
Une absence de concertation |
Une totale absence d’information et de concertations sur les aménagements structurants : travaux cœur de ville ; associations ; travaux de la mairie ; ZAC ; plage ; digue ; |
Un regard passéiste de la démocratie locale |
Pas de co-construction de projets ; on fait et après on discute ; une consultation sur l’avenant des concessions des plages inutiles car tout a déjà été décidé. |
Respect de la laïcité |
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Respect de la laïcité ; commémoration du 11 novembre. Mme le maire invitant la population à se rendre à la messe. |
Associations |
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Dialogue |
Pas de dialogue avec les associations sur le déménagement du terrain de pétanques et du city stade lors du choix de l’implantation de la nouvelle mairie : 2016 |
Fête du village et comité des fêtes |
Les moyens à donner pour une vraie force de propositions d’animations |
Les subventions |
Les critères d’attribution des subventions ? |
Le patrimoine et la culture |
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Le blason de la commune |
Sauvegarde et mise en valeur du patrimoine local |
Murs et enceintes |
Le mur du cimetière/les remparts, place de l’Hôpital |
Le rond point de la plage |
Quid du taureau animal totémique de Portiragnes ? |
Pause non musicale
https://www.youtube.com/watch?v=95-9jquhd6o
La suite pour très bientôt :
PROCHAINE PARTIE
QUAND ON BAT DE L'AILE OU DU PLOMB DANS L'AILE
BILAN ET AUTRES REFLEXIONS (PERSONNELLES)